Autodidacte, Marie cultive une relation particulière avec le papier et sa
sensibilité avérée à l'image, l'invite à faire naître des œuvres le plus souvent venues d'un monde onirique.
Dans son précieux espace de liberté, propice à la création d’œuvres qui
semblent pour le profane, dénuées de toute intention, Marie ne laisse pourtant à aucun moment, la part belle au hasard. Tout est méticuleusement organisé et l'aboutissement de son délicat travail
en témoigne.
Marie aime, entre autres, s'inspirer de l'univers de la collagiste Sarah
Jarrett, et de celui des installations de Clare Celeste.